1984, de Shepard Fairey
J'ai du mal avec le concept de "classiques", ceux dont le titre ressort dans toutes les conversations, ceux qu'on se doit d'avoir lu. J'ai du mal avec le concept de "classiques" parce que j'ai du mal avec les lectures "imposées".
Dans l'interminable liste de ces classiques, je crois que 1984 occupe une place à part. Puisque chaque année qui passe semble rendre ce livre d'une actualité de plus en plus effrayante. Chaque année qui passe semble donc rendre la lecture de ce livre de plus en plus indispensable. Semble. Je lis ce que je veux, d'abord.
Et si sa notoriété ne suffisait pas, ce livre a eu le bon goût de me narguer toute ma vie en prenant pour titre mon année de naissance. Mais je lis ce que je veux, d'abord !
Et puis... il y a ça :
Je lis ce que je veux, ok, mais à ça, je ne peux pas résister. Mon écran d'ordinateur ne rend pas justice à la beauté de cette couverture, à la beauté de ce livre dont je ne peux qu'à peine détacher les yeux pour taper ce texte. Avec une couverture pareille, je lirais n'importe quoi.
Voilà, donc, je pars demain pour une semaine de vacances et je glisse dans mon sac ce roman qui m'attend depuis si longtemps...
Et je viens de découvrir que l'auteur de cette couverture n'est autre que Shepard Fairey, l'artiste derrière la célèbre affiche de Barack Obama, Hope, pendant la campagne présidentielle américaine.
Dans l'interminable liste de ces classiques, je crois que 1984 occupe une place à part. Puisque chaque année qui passe semble rendre ce livre d'une actualité de plus en plus effrayante. Chaque année qui passe semble donc rendre la lecture de ce livre de plus en plus indispensable. Semble. Je lis ce que je veux, d'abord.
Et si sa notoriété ne suffisait pas, ce livre a eu le bon goût de me narguer toute ma vie en prenant pour titre mon année de naissance. Mais je lis ce que je veux, d'abord !
Et puis... il y a ça :
Je lis ce que je veux, ok, mais à ça, je ne peux pas résister. Mon écran d'ordinateur ne rend pas justice à la beauté de cette couverture, à la beauté de ce livre dont je ne peux qu'à peine détacher les yeux pour taper ce texte. Avec une couverture pareille, je lirais n'importe quoi.
Voilà, donc, je pars demain pour une semaine de vacances et je glisse dans mon sac ce roman qui m'attend depuis si longtemps...
Et je viens de découvrir que l'auteur de cette couverture n'est autre que Shepard Fairey, l'artiste derrière la célèbre affiche de Barack Obama, Hope, pendant la campagne présidentielle américaine.